Quoi faire ?

lau

18-10-2006 à 21:11:06
Comme souvent, tous les jours ou presque en fait, je me demande ce que je pourrais faire comme autre travail que celui que je fais.
Je sais c'est répétitif chez moi

J'en ai marre, c'est fatiguant psychologiquement, je ne m'éclate pas, je ne me réalise pas, bref excusez moi l'expression mais je m'emmerde grave.

ca c'est ce que j'ai envie de faire aux conducteurs par moment, comme à celui qui nous a fait un magnifique refus de priorité ce matin . Si je n'avais pas pris le volant et le frein : [/img]

Et bien sûr pas de

Voilà, j'en ai marre, c'est dangereux et ça paie pas. J'ai un patron plus que désagréable, qui ne m'a jamais parlé sans me mordre, en 3 ans et demi, jamais de compliments, uniquement des reproches ou rien, du vide.

Voilà, c'est tout...
11-10-2006 à 09:44:30
Désire tu vraiment changer de taf ? veux tu vraiment passer le pas et chercher autre chose ?

quel domaine aimes tu ?
scientifique ? médical ? nature ? animal ? informatique ? manuel ? sport ? social ? animation ?....

la nature ? être dehors ?

les bureaux, les ordis ?

aider les autres ?

être en contact avec le client en direct ?

gérer des choses ? gérer des gens ?

Même sans diplome, on peut changer totalement de domaines donc ça.. Faut d'abord que tu te demande ce que tu aimerais faire...
Peut-être en faisant une liste de choses auquelles tu penses que tu pourrais faire à longueur de journée ?
Ensuite chercher sur le net en ciblant plus ce que tu aimes... voir ce qu'il est possible de faire ... dans quel domaine... et voir s'il peut y avoir pourquoi pas des formations par correspondance s'il faut un diplome ou expérience... sinon te lancer !!!

En fait, c'est tout dépend de toi ma poulette !!! es-tu prete à tout revoir ? à te lancer dans l'inconnu ?

[glow]J'aime po l'hiver...[/glow]
11-10-2006 à 09:45:17
moi perso je te dirais : fonce, si tu ne t'épanouis pas dans ton taf (c quand meme pratiquement 10h par jour donc autant que ça te plaise un minimum quand meme) !

[glow]J'aime po l'hiver...[/glow]
11-10-2006 à 15:01:28
Je suis de l'avis de ttl
Quand on fait un travail qui ne nous plait plus ca nous bouffe de l'intérieur....
Alors n'hésites pas lau
11-10-2006 à 21:02:34
Je suis de l'avis des filles, vaut mieux trouver un autre job histoire d'être épanouie que de rester là où tu es et ne pas prendre plaisir a travailler...au point d'en arriver à des depressions, du stresse etc etc...
Après, je te conseil de chercher du taf tout en continuant le travail que tu as en ce moment...tu sais dans quel branche où aller ? Tu as des idées ?

11-10-2006 à 21:05:18
heu bah ça oui vaut mieux rester dans son taf... ne rien dire surtout si ton boss est c... il risquerait de faire harcelement moral etc... donc reste sans rien dire tout en cherchant ailleurs.

c comme ça que j'ai trouvé mon new taf ... en plus avec la maison faut pas déconner... donc reste zen et prépare bien ton coup ma poulette !!!! courage !!! tu trouveras ta voix !!!

[glow]J'aime po l'hiver...[/glow]

lau

11-10-2006 à 21:50:44
Le GROS problème c'est que je ne sais pas ce que j'aimerais faire, c'est une horreur, je n'ai jamais su !
J'ai bien des activités que j'aime mais, de là à en faire un métier...

J'ai une idée depuis longtemps, sellier, bourrelier, travailler le cuir dans le domaine de l'équitation.
J'aime être dehors, bouger un peu mais pas loin, j'aime fabriquer.

Le commerce, à éviter, le social aussi.

Bon et il faut dire aussi que je prévois un peu l'avenir parce que mon patron doit retourner à l'hopital demain, il a une grave maladie, et j'ai un peu peur qu'il arrête et qu'un pire reprenne.


11-10-2006 à 22:32:59
tu crois que ça existe pire ???

et meme avec sa maladie il est toujours aussi c... ?

[glow]J'aime po l'hiver...[/glow]
12-10-2006 à 12:21:15
Pas facile de savoir vraiment ce que l'on veux dans le contexe actuel... existe-t-il des formations ds le domaine de l'équitation ??

Youpala !!!
12-10-2006 à 13:06:14
alors voyons.... mmhhh... sellier ce n'est pas forcément avec les chevaux hélas... J'avais un client à mon ancien taf : Entreprise Butet à Saumur je ne sais pas si tu connais Lau, ils vendent des selles régulièrement à une fille qui fait des courses déquitation... Leedermann je crois que c'est son nom... bref.... tout ça pour dire que j'étais allé à sa boite et bon... tu es à l'intérieur, tu fabrique les selles aucun contact avec cheval et pas dehors... par contre tu sens la bonne odeur du cuir mmhhhhh ça sent super bon !!! :)

... voyons.... pour ton domaine déjà c un peu plus affiné : travaux manuels oui, dehors oui pk po, en contact éventuel avec les chevaux...

à réfléchir... :)

[glow]J'aime po l'hiver...[/glow]
12-10-2006 à 13:12:02
http://www.orientation-formation.fr/-Choisir-un-metier-

me disais bien que yavait des sites là dessus !! :)

Eleveur-soigneur/Eleveuse-soigneuse de chevaux


Définition de l'emploi/métier : Réalise tout ou partie des tâches liées à l'entretien et à la reproduction d'un troupeau d'équidés (chevaux, poneys, ânes...) destiné en priorité à fournir des bêtes de selle, de somme ou de trait.§Assure principalement les soins de nourriture et d'entretien, ainsi que les exercices d'entraînement des animaux. Participe à l'entretien général du centre.

Conditions générales d'exercice de l'emploi/métier : L'emploi/métier s'exerce principalement en écurie, en contact quotidien avec les animaux. Il nécessite des manipulations fréquentes de charges (sacs, seaux, bottes de fourrage...). La conduite d'engins motorisés de traction ou de levage est fréquente.§Certaines activités de monte peuvent impliquer des conditions physiques ou sportives particulières (exigence de poids en particulier), des déplacements assez fréquents ainsi qu'une grande mobilité. Les soins aux chevaux s'accompagnent généralement d'horaires très matinaux. Ils sont le plus souvent effectués par la même personne et nécessitent de travailler les fins de semaine et les jours fériés.

Formation et expérience : Cet emploi/métier est accessible à partir de formations de niveau V (CAPA "cavalier-soigneur", BEPA "métiers du cheval") ou d'une bonne pratique de l'équitation. Des modules de qualification "conduite de l'élevage du cheval" sont proposés dans le cadre du BTA "élevage".§La formation continue prépare à un Brevet professionnel agricole (BPA hippique) qui conduit aux emplois de cadre d'écurie, garçon de voyage et premier garçon. Depuis 1993, un diplôme de niveau IV (BTA ou équivalent) est requis pour bénéficier des aides à l'installation.

Compétences techniques de base : Distribuer l'alimentation en respectant les dosages préétablis.
Assurer le lavage, le pansage, les soins simples (bandages, piqûres...), la vérification des fers des animaux.
Identifier les problèmes de santé (chaleurs, maladies, accidents) et les suites à donner.
Entretenir les boxes (curage, nettoyage, paillage).
Sortir les animaux, les présenter, les rentrer à l'écurie.
Assurer l'exercice des chevaux (les monter ou les tenir à la longe).
Entretenir le matériel nécessaire au cheval.
Enregistrer les données techniques se rapportant au suivi de l'élevage.
Compétences associées : Retour en haut de la pagePosséder des notions de secrétariat.
Capacités liées à l'emploi : Retour en haut de la pageL'emploi/métier requiert d'être capable de :

Observer et analyser l'état général des chevaux.
Comprendre le comportement des chevaux et Entretenir des rapports affectifs avec eux.
Développer des contacts avec le public.
S'intégrer dans une petite équipe de travail.
Activités spécifiques : Retour en haut de la pageProductions réalisées :

Chevaux.
Poneys.
Anes, baudets, mulets.
Opérations réalisées :

Calcul des rations en fonction de l'activité et de l'état de l'animal.
Entraînement des animaux (dressage pour les courses...).
accompagnement des chevaux lors des Déplacements sur les champs de courses.
Choix des étalons, organisation des saillies.
Commercialisation du lait de jument, d'ânesse.
Activités annexes :

Animation, formation équestre, entraînement.
Tourisme équestre (randonnées, raids, roulottes...).
Restauration, hébergement.
Proposition d'une location d'espaces (chasse, pêche, camping...).
Responsabilités exercées :

Encadrement d'une équipe.
Gestion d'une station de monte, entretien des étalons.
Organisation économique de l'exploitation.
Lieu d'exercice de l'activité : Retour en haut de la pageCentre équestre.
Haras Privé.
Haras national.
Ecurie de course.
Poney.club.
Ferme équestre.
Conditions de travail : Horaires très matinaux.
Déplacements.




--Message édité par TTL5V le 12-10-06 à 13:17:48--

[glow]J'aime po l'hiver...[/glow]
12-10-2006 à 13:13:26
palefrenier(ière)


En résumé : Les palefreniers prodiguent les soins aux chevaux et nettoient les écuries. Cette activité liée au tourisme et aux loisirs débouche rarement sur un emploi fixe.

Nature du travail : Soin et entretien
Si le palefrenier sort le cheval à la main ou à la longe pour le détendre après l’entraînement, il ne le monte que très rarement. Chaque soigneur d’équidés (autre nom du palefrenier) s’occupe de dix à douze chevaux d’élevage ou de sport. Il assure les soins des animaux (nourriture, brossage, pansage…), surveille leur état de santé, repère tout comportement anormal (nervosité, blessure…) et doit réagir rapidement en cas d’urgence. Tout en appliquant le plan de travail des chevaux, il enregistre les données techniques relatives à l’élevage.

Le palefrenier passe plus de la moitié de son temps à entretenir les boxes (paillage, litière…), les aires de travail des chevaux et les installations. Il prend également soin du matériel (harnais, selles) et peut participer à la maintenance générale du centre équestre, tailler les haies, faire les foins, conduire le tracteur ou peindre les clôtures. Enfin, si le centre propose des randonnées, il renseigne le public sur les animaux et sur les activités proposées.

Conditions de travail : Une autonomie sous contraintes
Membre d’une petite équipe, le palefrenier organise son travail assez librement. Mais il a des contraintes : rendre compte de ses observations au directeur du centre équestre et s’occuper des chevaux chaque jour dès 6 heures du matin. Pas de dimanches ni de jours fériés. Et, qu’il vente ou qu’il neige, il travaille dans des écuries non chauffées ou à l’extérieur.

Vie professionnelle : Les places sont rares
Vivre du métier de palefrenier est peu fréquent. L’activité est saisonnière (liée aux périodes touristiques) et occasionnelle. Ceux qui ont plus de trois ans d’ancienneté au sein d’un même poste sont rares.

L’univers du cheval recrute souvent par cooptation. Les jeunes peuvent décrocher un emploi salarié dans les haras, les centres ou les fermes équestres, les écoles de dressage et les associations de propriétaires. Les débouchés se situent essentiellement dans la filière élevage et dans le tourisme équestre. L’Île-de-France compte de nombreux centres ainsi que l’Ouest, inscrit dans une tradition d’élevage (haras nationaux de Saint-Lô, Le Pin, Angers…).

Les possibilités d’évolution sont limitées, mais les haras importants permettent aux soigneurs de devenir responsables d’écurie après quelques années de pratique professionnelle.

Rémunération
Le salaire de base d’un débutant se situe aux alentours du Smic .

Compétences : Observateur et débrouillard
Passionné par l’univers équestre, le palefrenier connaît le tempérament des chevaux, décrypte leur comportement et leurs réactions. En général, il a des bases d’équitation. Robuste (pour porter les sacs de fourrage et les seaux), soucieux de la propreté et méticuleux, il doit aussi être résistant car les journées sont longues et fatigantes.

Le soigneur doit pouvoir s’improviser bricoleur : avoir des rudiments de mécanique (pour réparer un tracteur en panne), de maréchalerie (pour déferrer un cheval, remettre un clou), mais aussi d’électricité, de maçonnerie et de menuiserie (pour l’entretien des écuries) se révèle indispensable.

Dans les centres de tourisme équestre et les poney-clubs, avoir le sens du contact constitue un plus.

Accès au métier : Passer le CAPA
Le CAPA soigneur d’équidés permet d’accéder à des emplois d’aide-palefrenier. D’une durée de un an, la préparation au certificat s’adresse aux jeunes de plus de 16 ans qui ont, de préférence, pratiqué l’équitation. Accessible après une 3e préparatoire, technologique ou générale, elle peut être suivie en apprentissage, en formation initiale ou en cours d’emploi.

CAPA Soigneur d’équidés
CAPA Maréchalerie
BEPA Activités hippiques spécialité maréchalerie
BEPA Conduite de productions agricoles spécialité productions animales
Bac pro Conduite et gestion de l’exploitation agricole option production du cheval
BTSA Productions animales
Retour en haut de la pageLes types de formations qui mènent à ce métier :
Bac pro Conduite et gestion de l'exploitation agricole option production du cheval
BEPA Activités hippiques spécialité maréchalerie (dernière session d'examen avec cet intitulé en 2006)
BEPA Conduite de productions agricoles spécialité productions animales
BTSA Productions animales
CAPA Maréchalerie
CAPA Soigneur d'équidés
Synonyme(s) : soigneur(euse) d'équidés


--Message édité par TTL5V le 12-10-06 à 13:19:01--

[glow]J'aime po l'hiver...[/glow]
12-10-2006 à 13:16:34
maréchal(e)-ferrant(e)


En résumé : Protéger les pieds du cheval de l'usure et remédier aux problèmes d'aplomb et de forme, c'est la mission des maréchaux-ferrants. Un métier de passionnés, qui séduit mais compte peu d'élus.

Nature du travail : Du sur mesure
« Pas de pieds, pas de cheval ». Cette expression anglaise traduit le rôle central du maréchal-ferrant. Sans lui, le cheval marcherait à vif.

Les sabots ne sont rien d’autre que des ongles, qui poussent en permanence ; ils doivent être nettoyés et ferrés environ tous les mois. Après avoir retiré l’ancien fer, il faut parer le pied de l’animal, plus précisément enlever l’excédent de corne avec un boutoir et un rogne-pied. Pendant ce temps, quand il n’est pas forgé d’avance, le fer chauffe. Il s’agit de le transformer en une semelle, qui sera ensuite ajustée sur le sabot puis clouée ou collée selon la physiologie du cheval et son activité (repos ou compétition).

Outre ce travail ordinaire de ferrage, le maréchal-ferrant veille à la santé générale de la bête (boiterie, fatigue…) et surveille sa denture ; il est le meilleur allié du vétérinaire.

À noter : le maréchal peut être amené à intervenir sur n’importe quel bovidé.

Conditions de travail : De l'artisanat en plein air
Fini le temps où les gens venaient avec leur cheval à la forge ! Aujourd’hui c’est le maréchal-ferrant qui se rend dans les écuries. Cet artisan travaille seul et, dans 70 % des cas, en tant que travailleur indépendant. Au volant d’une camionnette tout équipée (outils, four, seaux, tabliers…), il sillonne un département ou une région. D’autres professionnels sont salariés d’un centre équestre. Quelques-uns, enfin, choisissent l’armée : gendarmerie, garde républicaine ou armée de terre.

Le métier est physique et les journées sont longues (entre 10 et 12 heures). Il y a d’un côté le contact avec les chevaux, de l’autre les relations avec les clients. Il ne faut avoir peur ni de respirer la fumée du sabot chauffé par le fer brûlant, ni de travailler à l’extérieur, ni de se salir.

Le travail d’ajustement a pris le pas sur celui de la forge. Aujourd’hui, les maréchaux utilisent plutôt des fers préforgés industriels.

Vie professionnelle : Un métier d'élite
Ne devient pas maréchal-ferrant qui veut. Seules les personnes titulaires d’un diplôme homologué ou justifiant d’au moins trois ans d’expérience sont autorisées à pratiquer.

Le développement de l’équitation a suscité un regain d’intérêt pour le métier. La maréchalerie attire les jeunes, mais elle recrute peu. Le secteur reste très confidentiel : on compte environ 1 500 professionnels, en majorité des hommes, mais les femmes ne sont pas rares.

Avec de l’expérience, le maréchal-ferrant peut se spécialiser en orthopédie équine, profession rare et recherchée. Il doit alors acquérir des connaissances supplémentaires en hippologie, en soins vétérinaires et en anatomie du pied.

Rémunération
Peu nombreux, les professionnels gagnent correctement leur vie, mais au prix d’un travail acharné. La rémunération des indépendants varie en fonction du nombre de leurs clients, du type de ferrure exécutée, de la complexité du travail et des matériaux utilisés. Le prix d’une ferrure simple (quatre fers) est de 80 à 90 euros. Les salariés, de leur côté, débutent au Smic (1 090 euros).

Compétences : Avoir les reins solides
Manipuler le cheval, se baisser, porter le matériel de forge… Les activités du maréchal-ferrant mettent le dos à rude épreuve. Mais il n’est pas nécessaire d’être particulièrement fort. Une grande maîtrise de soi aide, en revanche, à approcher l’animal et à le calmer, ce qui évite de le sangler.

Sur un plan pratique, il faut connaître les techniques de forge, l’anatomie du pied du cheval et les soins à lui apporter. Un esprit rigoureux et ouvert permet de bien gérer son entreprise et d’entretenir de bonnes relations avec ses clients.

Accès au métier : Formation en apprentissage
La formation se fait essentiellement en apprentissage, chez un maître artisan, plus rarement dans une école. Trois diplômes sont spécialisés :

Le CAPA Maréchalerie
Le BEPA Activités hippiques spécialité maréchal-ferrant, accessible dès la 3e , mais seul un candidat sur douze ou treize est retenu après entretien et étude du dossier.
Le BTM Maréchal-ferrant , après un CAPA ou un BEPA, forme des maréchaux confirmés, capables de maîtriser la technique et d’évoluer vers des postes d’encadrement de production. Une spécialisation en orthopédie et chirurgie du pied est proposée à l’École des haras.
La garde républicaine dispose d’un service de maréchalerie. Deux recrutements sont possibles : l’un en qualité de gendarme adjoint, l’autre comme garde républicain. Le premier nécessite de souscrire un contrat d’engagement d’une année, renouvelable quatre fois ; le second implique de faire carrière au sein de l’institution.

Établissements :

CFA du Comminges, avenue de la Gare, 31210 Gourdan-Polignan. Tél. : 05 61 94 73 34 (CAPA, BTM)
CFA, route de Fougères, 50600 Saint-Hilaire-du-Harcouët. Tél. : 02 33 91 02 29 (CAPA, BEPA)
CFA, chambre de métiers de l’Oise, 24 rue de l’Industrie, ZAC de There, 60000 Beauvais. Tél. : 03 44 02 21 16 (CAPA, BTM)
CFA du Lycée agricole de Laval, 321 route de St Nazaire, BP 1319, 53013 Laval. Tél. : 02 43 66 06 91 (BEPA)
EPL Agro, 8 avenue du Présidnet Kennedy, 55100 Verdun. Tél. : 03 29 79 98 20 (BEPA)
Lycée agricole de Mirande, Valentées, 32300 Mirande. Tél. : 05 62 66 52 39 (BEPA)
Lycée agricole de l’Orne, rue du 11 novembre, 61500 Sées. Tél. : 02 33 81 74 00 (BEPA)
LEGTA de la Lozère, Civergols, 48200 St Chely d’Apcher. Tél. : 04 66 42 61 50 (BEPA)
École des haras, Les Écuries du bois, 61310 Le Pin-au-Haras. Tél. : 02 33 12 12 10 (BEPA)
Maison familiale rurale, route de Monétay sur Loire, 03470 Saligny sur Roudon. Tél. : 04 70 42 22 76 (BEPA, BTM)
Maison familiale rurale, Beauregard, 02260 Clairefontaine. Tél. : 03 23 97 27 30 www.mfr-beauregard.com (BEPA)

Les types de formations qui mènent à ce métier :
BEPA Activités hippiques
BTM Maréchal-ferrant
CAPA Maréchalerie

[glow]J'aime po l'hiver...[/glow]
12-10-2006 à 13:26:07
http://www.algora.org

je ne sais pas si ça peut t'aider mais bon...

hohohohoooooo j'ai trouvé un site là qui peut t'interesser !!!! :)
http://le-site-cheval.com/metiers/
on sait jamais...

sinon as-tu un CIO dans ton coin ? après tout il n'y a pas d'age pour se remettre en question et voir dans quel domaine t'orienter pour que ça te plaise !

Allez moi je te suis à fond ma poulette ! Il faut que tu trouve ta voix ! courage !

[glow]J'aime po l'hiver...[/glow]

lau

12-10-2006 à 21:41:36
Merci pout tes efforts TTL, je connais tous ces métiers déjà !
Palfrenier pas la peine, tu gagne rien, éleveur faut être friqué au départ, maréchal ferrant impossible, avec le dos que j'ai. Beaucoup arrêtent à cause du mal de dos !

Merci quand même !!!


13-10-2006 à 10:15:10
LOL ha ok.... bah tout ce que je peux te conseiller c tout simplement d'aller voir dans les écuries ou truc animation poney, chevaux voir s'ils n'ont pas besoin de kkun ?
en tant qu'animateur, soigneur etc... meme sans diplome l'expérience y fait bcp ...

et aussi tout simplement demander un entretien avec une nénette de l'ANPE pour qu'elle puisse peut-être te guider... on sait jamais !! :)

[glow]J'aime po l'hiver...[/glow]